Elle ne savait pas qu'il jouait du banjo. Il joue bien. Elle regarde sa musculature fine, son torse nu,
ses bras. Il a l'air… habité. Il vacille légèrement. Sa voix semble venir de son ventre, et s'écouler par
sa bouche, se mêlant à la musique. Elle le regarde avec une petite pointe d'orgueil. Il l'a voulue, elle,
près de lui, maintenant.
« Gaia se meure », dit le chat à l'enfant-forgeron. L'enfant-forgeron posa ses outils, et regarda
longuement le chat. Sa vue se brouillait doucement. Le chat vint lécher les larmes sur les joues
sales, puis se blottit dans le cou de l'enfant-forgeron.
une série en 24 épisodes +1 pour parler, montrer et rendre compte des violences quotidiennes que subissent les femmes. 24 épisodes, donc, de 4 minutes chacun, et chacun correspond à 1 heure de la journée.
Je n'ai vraiment pris mesure de l'ampleur du phénomène que lorsque j'ai commencé à parler
en société. Avant, je me contentais de sourire aimablement, d'opiner du chef ; et cela suffisait à me
faire apprécier de bon nombre de gens qui, s'ils me trouvaient parfois trop discret, louaient mes
capacités d'écoute bienveillante : j'aurais pu être curé ou psychiatre.
"Vous pouvez élever le potentiel autant que vous voudrez, avec les tares Alpha et S4, aucune chance d'émergence du clone." ! Trigger warning : second degré&humour noir!
J'aime singulièrement les hétéronymes. Peut-être parce que je n'aime pas les cases, les étiquettes, les définitions toujours hâtives et partielles que les humains font de leurs semblables. Donc, un de mes hétéronymes, Juliette Dupont, artiste sonore, a eu le plaisir d'être conviée à participer à une exposition avec trois artistes contemporains reconnus.