Crédit: Complainte post-coiffeur 8 mai 2016 par Warda A Guillaume C. On a pensu à Lavoisier, Pour qui tout se transforme, rien ne se perd ni ne se crée, Voyant que le coiffeur gardu les longs cheveux coupés. On a pensu à l’Univers immense, Nous, petite chose qui pense, Sachant que poils-tête gardés pour la Science. cheveux coiffeur poésie